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drogue, alcoolisme, anorexie = .

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drogue, alcoolisme, anorexie = . Empty drogue, alcoolisme, anorexie = .

Message par famille ds Jeu 7 Jan - 0:30

J'ai été et, je suis, moi-même, touchée par cette 'sensibilité'...

Drogue, alcoolisme etc..

=.
..mal d'Amour....
drogue, alcoolisme, anorexie = . Gmqgpyb6

"S'arrêter de fumer, ce n'est pas dur, je l'ai fait des centaines de fois".
Peut-être avez-vous déjà entendu cette boutade. Humoristique à l'origine, elle nous rappelle cependant à une dramatique réalité. Des millions de personnes dans le monde aujourd'hui sont liées comme des esclaves à des substances appelées drogues sans pouvoir sans libérer plus de quelques jours voir pour les pires situations quelques heures.
Cette état se nomme la pharmaco-dépendance. Voici sa définition selon l'Organisation Mondiale de la Santé : "état psychique et parfois physique résultant de l'interaction entre un organisme vivant et une drogue ; se caractérise par des modifications du comportement et d'autres réactions qui comprennent toujours une pulsion à prendre de la drogue afin de retrouver ces effets psychiques et quelques fois d'éviter le malaise de la privation".

Il est terrible de vivre dans cet état de liens. Combien voudrait en sortir mais sont tenus par une substance, naturelle ou de synthèse. Bien sûr, il existe des traitements pour "décrocher". Mais la faible nature de l'homme est telle que les rechutes sont nombreuses. Un peu comme un cancer qui vous ronge et dont chaque rémission n'est que l'illusion de la guérison avant de replonger. Et le drogué peu à peu s'enfonce dans un état où il n'est plus que l'ombre de lui-même. Ses relations sociales et sa situation s'effritent, obnubilé qu'il est par la recherche d'une nouvelle prise et par le moyen de financer celle-ci.
Il est vrai qu'il existe plusieurs types de substances, dont les effets sont plus ou moins violents et la dépendance plus ou moins forte. Pour le "crack" par exemple, la dépendance est très forte en 2 ou 3 prises. Pour le cannabis, les effets peuvent paraître moins spectaculaires et faire penser au consommateur à une moindre dangerosité. En réalité, il constitue non seulement un produit toxique mais aussi une porte d'entrée vers des substances encore plus dangereuses. Le Centre National d'Information sur les Drogues cite une étude effectuée sur 4000 toxicomanes à l'héroïne et la cocaïne. Elle révèlent que 95 % d'entre eux ne seraient pas devenus toxico-dépendants s'ils n'avaient pas rencontré le cannabis. Voilà de quoi réfléchir !

"Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir", déclare la sagesse populaire. En dépit des difficultés, il existe des guérisons authentiques, des personnes qui peuvent, après être passées par la drogue, mener une vie normale et heureuse. Le chemin de la délivrance n'est pas facile mais il existe. Bien entouré, soutenu, le drogué peut décrocher.

Au travers de cette épreuve comme au travers des autres moments difficiles de notre vie, l'amour, qui se tient à notre écoute est et constitue le plus sûr appui. En lui, vous trouverez toujours un ami fidèle, un guide pour vous conduire et vous relever. Car on vous aime déjà plus que vous ne l'imaginez ...

Foucault Hervé
ADD de Bordeaux


A TOUs CES ETRES MERVEILLEUX CAR ...

drogue, alcoolisme, anorexie = . Blt1slg3
Solitude, stress, dépression...

Seul dans la foule ! Seul dans la cité !

“ Qui me comprendra ? "

“ Je voudrais que l'on me parle, qu'on s'enquiert de mes nouvelles, que l'on voie que je ne vais pas bien ! Mais les gens ne le voient pas. Alors, ils passent, me laissent là toute seule, encore plus seule, inutile et sans intérêt ! "

“ J'ai toujours été seule dans la vie, sans de vrais amis. Personne à qui se confier, personne pour écouter. "

" Toujours tout garder pour soi... que c'est dur ! ” s'exclame Véronique, étudiante.

“ L'enfer est tout entier dans ce mot : solitude ” disait déjà Victor Hugo.

Solitude, cruelle compagne de tous les jours...
5,8 millions de Français la connaissent, selon l'INSEE. En 8 ans, leur nombre a augmenté de 21% : une véritable épidémie ! Comme Véronique, ils déclarent à 71% : “ c'est difficile d'être seul ” (Sondage SOFRES, Le Nouvel Observateur, mars 1989).

La solitude, ils l'ont expérimentée en perdant un proche, au cours de la maladie, et surtout en arrivant dans une ville inconnue.

“ Grand problème des villes, ceux qui y résident sont devenus étrangers les uns aux autres. On ne se parle plus ” (Michel Rocard, déclaration du 29 juin 1988). Et pourtant, on n'a jamais autant parlé de communication !

Comme pour lui faire écho, Michel Berger écrit les paroles de ce chant : “ On dort les uns contre les autres, on vit les uns avec les autres. Mais au bout du compte, on se rend compte qu'on est toujours tout seul au monde ” (Chant : Les uns contre les autres, Starmania). Seul, seul dans une société atomisée, individualiste : bonjour-bonsoir dans les escaliers ou l'ascenseur, et puis chacun chez soi.

Ce soir là, “ j'ai eu l'impression qu'enfin on s'intéressait à moi ” raconte Didier, interviewé par l'hebdomadaire L'Express (L'Express, 13 octobre 1994). C'est ainsi qu'il s'engage dans la scientologie. Amer choix, il quittera par la suite la secte.


“ Je ne peux plus rien ” “ Je ne veux plus rien ” “ Je ne vaux plus rien ”

D'autres cherchent refuge dans les sorties - 41% - ou dans le travail - 32% - selon le sondage précédemment cité. Fuite en avant ?

Diffcile à savoir dans un monde qui, de toute façon, nous entraîne bon gré mal gré dans sa course. Toujours plus vite, toujours plus, toujours mieux, de quoi devenir stressé !


Sous pression... Sous tension
Sous le règne de l'urgence et de l'efficacité, la plupart de nos conditions de vie prennent une coloration de stress : horaires chargés, embouteillages, bus bondés, bruit ambiant, téléphone... même nos moments de détente nous laissent tendus lorsqu'il faut faire une demie heure de queue au télé-ski, ou trouver un mètre carré disponible sur la plage ! Quant au changement, n'en parlons pas ! C'est le stress avec un grand S : il faut sans cesse s'adapter et puis l'inconnu, ça fait peur.

“ En fait. tout ce qui participe du non-dit est extrêmement stressant. C'est pourquoi lorsqu'on parle de déménagement dans une entreprise, les salariés protestent toujours pour les mêmes raisons pratiques... En fait, le vrai stress n'est pas là : le déménagement réactive tous les conflits latents. C'est avant tout relationnel. " (Eric Albert et Laurent Chneiweiss de l'Institut Français de l'Anxiété et du Stress) . Ambition, frustration, jalousies, tout ressort avec le déménagement, le changement. Et “ dans l'entreprise comme dans la vie courante, ce sont les relations humaines et non l'environnement physique qui sont génératrices de stress ”, assure le docteur Jacques Gorot (Le Point no 1009, janvier 1992). C'est notre entourage qui nous stresse parce que nous ne pouvons le quitter à la première tension ou déception. Il faut bien faire avec, d'autant plus qu'on ne veut pas rester seul : on a trop besoin d'amour, de compréhension.

Expressions typiques du déprimé qui n'a plus qu'une envie, c'est de s'allonger et de regarder dans le vide. Et pour cause : il n'a plus de force, ne parvient plus à fixer son attention et encore moins à prendre des décisions, il pleure ou s'énerve pour un rien, tout l'ennuie et les petits soucis deviennent des montagnes à ses yeux. La dépression lui fait, en effet, percevoir la vie au travers de lunettes pessimistes, moroses ; elle lui ôte ses capacités, l'enferme en lui-même. Bref elle l'atteint au plus profond de son être et touche ainsi un Français sur dix (Cette statistique ne prend en compte que les dépressifs à proprement parler. Nous faisons effectivement la distinction entre la dépression d'une part et les troubles psychologiques et maladies mentales d'autre part. ).


Pourquoi ?
C'est la question du déprimé. celle qu'il rumine comme pour trouver une issue de secours. Lorsque la cause est purement physique, le voilà rassuré, et il reprend espoir. Mais le plus souvent, il relie sa dépression à un ou plusieurs événements précis : décès d'un proche, coup dur, séparation, déception, stress, surmenage... Il se sent malmené par la vie et un jour il craque, ou bien il n'arrive pas à oublier une faute commise, il s'en veut et ça le mine. Parfois, la dépression peut arriver sans crier gare, sans cause apparente... “ Six mois avant, affirme Jean-Luc, si on m'avait dit que j'allais faire une dépression, j'aurait dis: jamais de la vie ! Et pourtant, mes émotions ont pris le dessus sur ma raison et je m'enfonçais toujours plus. ”

Toujours plus bas, toujours plus anxieux, toujours plus seul avec son mal-être... Avec le temps, on s'habitue à ce nouvel état qui nous semble alors presque normal.

Personnellement, après plusieurs mois j'avais l'impression de ne plus pouvoir m'imaginer en dehors de ma dépression; c'était comme si elle faisait partie de moi, de mon identité. J'étais alors partagée entre le désir légitime de m'en sortir, et la crainte du changement. Il me fallait prendre du recul par rapport à moi-même, à ce que je ressentais.

“ Pourquoi t'abats-tu mon âme ? Et gémis-tu sur moi ?... Mes larmes sont ma nourriture jour et nuit... "
“ A quoi bon me désoler, à quoi bon me plaindre de mon sort ? Mieux vaut espérer en Dieu... ” (Psaume 42, v. 6, 4, et 12).

Extraites d'un psaume de la Bible, ces paroles m'interpellaient. Au lieu de s'écouter, l'auteur s'interroge sans pour autant sombrer dans une vaine introspection. Au lieu de se plaindre, il tente un regard objectif sur sa situation, sur lui-même. Il refuse de se prendre en pitié malgré la présence probable de pensées du style : personne ne me comprend, ne m'aime, ne souffre comme moi, maintenant c'est trop... Non, la pitié de soi ne passera plus par sa dépression. Certes, elle n'en était pas la cause, mais elle l'a entretenue comme le vent alimente l'éolienne. Or, avec le peu de force et de volonté qui reste dans ces cas-là, nous pouvons tout de même faire quelques choix.

Certains “ ne crient pas vers moi (Dieu) dans leur cœur : mais ils se lamentent sur leur couche ” (Osée, ch. 7, v. 14), et rien ne change. Et pourtant “ quand un malheureux crie, l'Eternel l'entend et le sauve de toutes ses détresses ” (Psaume 34, v. 7).

“ Les personnes en bonne santé n'ont pas besoin de docteur, ce sont les malades qui en ont besoin " (Matthieu, ch. 9, v. 12). En disant cela, Jésus m'a reconnu le droit d'être malade, explique Françoise. Ma culpabilité s'est alors envolée. Ce fut le point de départ de ma guérison. Je comptais pour quelqu'un ”, pour ce Dieu créateur qui nous semble souvent si lointain. "

Le roi David, dans sa prière, exprime le même sentiment : “ Quand je vois le ciel, ton ouvrage, la lune et les étoiles, que tu y as placées, je me demande : l'homme a-t-il tant d'importance pour que tu penses à lui ? ” (Psaume 8, v. 4). Dieu, non seulement s'intéresse à nous mais encore nous témoigne son amour, son attachement : “ Tu as du prix à mes yeux, tu comptes beaucoup pour moi et je t'aime. ” (d'Esaïe, ch. 43, v. 4 ).


Il n'y a pas de gouffre trop profond pour Dieu.
Il n'y a pas de solitude trop grande pour Dieu.
l n'y a pas de situations trop stressantes pour Dieu.
Dans notre course, Dieu nous rappelle : “ Arrêtez et sachez que je suis Dieu ” (Psaume 46,v. 10). Si vous êtes au creux de la vague, Jésus-Christ ne vous oublie pas :



http://langedeleternel.centerblog.net/rub-Ces-maux-qui-nous-rongent-depression-alcool-drogue-anorexie-boulimie-etc-.html




https://www.youtube.com/watch?v=gsJtPXsncsE&feature=related


Question : Les personnes qui se droguent ou qui sont alcooliques ont -elles choisi cette épreuve avant de s'incarner ou fuient-elles la vie ?

« Nous vous répondrons d'une façon absolue. Elles ont choisi cette expérimentation. Cependant vous pouvez les aider à dépasser cette épreuve en leur faisant comprendre.
Chaque âme qui s'incarne doit vivre toutes les expériences de cette terre, de cette école. Il est très dur pour vous, quand cette difficulté vous touche sur le plan affectif, de comprendre et d'aider ces âmes un peu perdues. Elles doivent cependant vivre la déchéance du corps. Elles doivent vivre le déchirement. Elles doivent comprendre la leçon que leur apporte cette déchéance
Ce qui est plus grave à votre époque, c'est que parfois il y a déchéance sur le plan de l'âme. Il y a aussi des erreurs d'incarnation, ce qui veut dire que des êtres dont l’âme ne s’était pas suffisamment reposée qui s’est incarnée trop vite, qui a voulu trop en faire croyait pouvoir faire face à ce genre d’épreuves, croyaient pouvoir accomplir leur expérimentation vie ! Donc les êtres trébuchent et ratent, en quelque sorte, leur devoir de vie. Ils devront recommencer. Ils le ratent quand ils se suicident, et le suicide est la chose la plus dramatique pour une âme incarnée en ce monde.
Un être qui se drogue, qui boit, est avant tout un être que cette vie désespère, qui a un immense besoin d'Amour et qui ne le sait pas toujours. Il n'a pas conscience de ce désespoir. Il arrive aussi parfois qu'il ait cohabité par des entités qui lui font commettre des actes tels que la boisson, la drogue ou la prostitution ; Cela fait certes partie de son plan de vie, mais il pourrait en réchapper grâce à l'Amour qui le sortirait de ces basses vibrations.
Tout peut être accéléré, et même un plan de vie peut être modifié par la compréhension. Un programme peut être changé de la même façon qu’avec vos ordinateurs. Sur votre plan de vie, vous pouvez changer un programme, mais toujours dans le sens ascensionnel et non dans la descente. Vous pouvez aider à annuler, à reprogrammer votre plan de vie. Cela, il faut que vous le sachiez ! C'est très difficile à faire, mais tout vous est possible ! Toute remise de peine, toute remise de karma vous est possible si vous prenez conscience des miracles que vous pouvez faire sur vous et sur les autres.
Jésus vous l'a dit, vous pouvez faire des miracles et encore plus, uniquement avec la conscience de vos pouvoirs, de votre volonté, de votre compréhension, de votre Amour. Alors essayez de projeter toujours la Lumière et l'Amour sur les êtres de ce monde qui sont en souffrance, qui sont à la dérive. »
Question : Comment peut-on actuellement aider les adolescents à rester sur le Chemin de la Lumière, à éviter qu'ils fuguent ou qu'ils s'adonnent à la drogue ?
« Les adolescents bien souvent ont une perception de la spiritualité beaucoup plus forte que vous ! Il faut essayer de dialoguer avec eux au niveau de la spiritualité, de leur expliquer ce qu'est la vraie vie, le vrai chemin qu'ils doivent parcourir. Il faut que vous puissiez parcourir ce chemin ensemble.
Souvent, lorsque les adolescents s'adonnent à la drogue, c'est parce qu'ils sont très attirés vers une route qui leur est barrée. Alors ils tombent dans l'illusion et souvent cela occasionne de gros dégâts, de graves problèmes.
Le dialogue est nécessaire, mais avant que vous puissiez avoir ce dialogue avec un adolescent, il faut que vous ayez commencé votre transformation personnelle. A ce moment-là vous êtes guidés pour savoir ce que vous devez leur dire, le message que vous devez leur transmettre et ils seront totalement dans une autre énergie, dans une autre compréhension et ils évolueront complètement différemment.
La seule chose que vous devez pour les jeunes, c'est de leur parler de ce qu'ils sont et de ce qu'ils doivent devenir, de ce qu'est vraiment leur chemin, de leur faire comprendre qu‘eux aussi peuvent transformer le monde par ce qu'ils doivent devenir, et qu'au lieu de hurler, de vociférer, d'être contre tout, ils devraient travailler la paix intérieure et la conscience, travailler l'Amour, l'acceptation et la tolérance.
Ce n'est pas facile de leur faire comprendre tout cela, surtout quand vous-mêmes recherchez la Lumière !
Cependant si vous désirez vraiment aider les jeunes, une aide énorme vous sera donnée par intuition, par guidance, car chacun de vous est guidé même s'il ne s'en rend pas compte. Vous croyez que cela vient de vous, parfois vous en êtes fiers. Parfois ça vient de vous, certes, mais aussi souvent c'est une guidance qui vous est donnée.
Nous vous disons ceci : souvent les jeunes comprendront le vrai chemin, sauront la vraie direction qu’ils doivent suivre au travers de la souffrance.
Le plus grand service que vous pouvez donner à ceux que vous aimez, à vos enfants, c'est déjà d'avoir une vie équilibrée, une vie familiale sereine, une vie de couple solide ! C’est fondamental ! Quand vous pouvez donner cela à vos jeunes, c'est déjà une grande partie de leur chemin que vous éclairez, vous leur donnez la stabilité et cela c'est vraiment de l'Amour.
Alors vous, parents faites-vous déjà une vie stable et ensuite vous pourrez vraiment les aider ! Mais tant que vous êtes déchirés et perturbés, que vous n'avez pas pu intégrer la paix en vous, il est très difficile de pouvoir apporter aux autres ce que vous n'avez pas vous-mêmes.
C'est pour cette raison que le chemin spirituel, aussi difficile soit-il parfois, est souvent une aide précieuse pour votre équilibre, pour votre avancement et pour l'équilibre et l'avancement de ceux que vous aimez. »



Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :






  • qu'il ne soit pas coupé
  • qu'il n'y ait aucune modification de contenu
  • que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org
  • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu
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